dimanche 24 février 2008

Back in Town

17 Fevrier
Ce jour la , on emergera tard , je testerais avec delice les plus grand "bassins sales" de l hemisphere sud (il y a plein de "plus grand... "de l hemisphere sud par ici , faut dire que la concurence nest pas severe) une sorte de piscine en bord de mer qui se remplit avec la maree.
On filera ensuite vers Port Steven , un "ilot de paradis" selon notre hotesse en suivant le bus qui prenait peur en nous voyant le filer avidement malgres les feux rouges et les coups de klaxon.
Julie mantient que le port soutient a peine la comparaison avec Noirmoutier et les "dauphins par millier" de la brochure avaient du prendre le large pour une obscure raison de RTT a rattraper , mais le trajet a ete l occasion de photographier nos premiers panneux "attention kangourous" ce qui a mon avis meritait bien les 2 heures et demi de trajet.

18 Fevrier
Retour a Sydney , a KINGS CROSS le rutilant pour tenter de "negocier" le remboursement de la chambre miteuse (mais ci , celle du soir ou on a dormi dehors) avec une armoire a glace de 2 bons metre 10 , patron convaincu que le nettoyage de l immeuble a 400 dollars le jour meme de notre arrivee avait ete un modele pour des generations de deratiseurs.On en ressortira avec un cheque deja pret du montant presque total de notre investissement hotelier , une pirouette fraichement executee par votre narrateur accompagne d'une Julie en faire valoir sur bequille on ne peut plus convainquante.
Sandrine gagnera ensuite un resto en recuperant les clef de la voiture que votre meme narrateur a un peu moins glorieusement laisse echappe de ses poches
On recupere notre numero magique servant a ne pas nous faire ponctionner 40% du salaire quand on bossera et on file pour l apres midi et la nuit vers les quartiers nords de Sydney : vers MAINLY BEACH.
Mainly ressemble peu ou prou a une belle plage francaise , avec des vagues beaucoup , beaucoup plus grosses.
On se promet de revenir , le coin est sympa.
Je succombe a une lecon de surf prise pour le lendemain , mais faire le kakou , ca se paye , quand on est une bille , on se leve tot, tres tot .

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